Le lancement de la technologie NFC a permis de faciliter les paiements par carte bancaire, qui peuvent désormais être effectués sans contact et sans code. Cependant, cette technologie innovante n’est pas sans risque, car elle est plus exposée aux tentatives de piratage. Pour protéger les utilisateurs des risques de la technologie NFC, une start-up française vient de lancer l’étui Protec.card. L’étui Protec.card est une solution innovante pour la sécurisation des cartes bancaires. Il s’agit d’un étui intelligent qui se connecte aux Smartphones via une application gratuite. Par la suite, la carte bancaire sera protégée de tous types de lecteur NFC et son utilisateur recevra des notifications sur son téléphone en cas de piratage, de vol ou d’oubli. Le système sécurisé de Protec.card Le système Protec.card est paramétré pour envoyer sur le Smartphone de l’utilisateur une alerte dès que la carte bancaire n’est pas dans l’étui pendant plus de 2 minutes. Une alerte est envoyée également si la carte est à plus de 50 mètres du téléphone au-delà de 5 minutes. L’étui intelligent assure donc la protection des cartes bancaires en cas d’oubli, de tentatives de vol ou de tentatives de piratage des données. Lorsque la carte est insérée dans son étui, elle est également protégée des scanners qui fonctionnent avec la technologie NFC. La géolocalisation des cartes Le système Protec.card comprend un détecteur de présence et un détecteur d’éloignement, qui informe l’utilisateur si la carte n’a pas été rangée dans son étui ou si elle est sortie de sa zone de sécurité pendant plus de 5 minutes. En cas de vol ou de piratage, l’accessoire intelligent facilite les démarches d’opposition auprès de la banque. Le propriétaire de la carte bancaire peut également désactiver le système de notification lorsqu’il est chez lui. Ainsi, il peut définir des zones de confiance, où il n’y a pas besoin d’envoyer des alertes lorsque la carte s’éloigne du téléphone ou n’est pas rangée dans l’étui. Transformer l’étui Protec.card en cadeau d’affaires Protec.card est un accessoire à la pointe des nouvelles technologies conçu par une start-up française, qui fait partie des produits de la French Tech. C’est un objet fin et léger, facile à transporter partout. Il est disponible en plusieurs coloris et les professionnels qui souhaitent l’offrir à leurs clients ont la possibilité de le commander depuis le catalogue Promocadeaux.com. Le catalogue Promocadeaux® s’adresse uniquement aux professionnels et aux associations. Il leur propose une multitude de cadeaux d’affaires de différents univers, qui peuvent être personnalisés aux logos et aux messages de chaque campagne. Les cadeaux d’affaires de l’univers high-tech représentent des idées originales pour les opérations de fidélisation ainsi que pour les opérations de stimulation des équipes.

[...]

L’impression tridimensionnelle a révolutionné de nombreux secteurs, notamment la médecine, l’enseignement, l’automobile et l’habitat. Cependant, la plupart des modèles d’imprimantes 3D permettent d’imprimer des objets de petites tailles et ne parviennent pas à répondre aux besoins de tous les professionnels. C’est pour cela que Makershop propose désormais sur sa boutique la nouvelle imprimante Raise3D, dédiée aux objets grands formats. L’imprimante Raise3D du catalogue Makershop permet de réaliser des objets de grandes tailles en utilisant différents matériaux et couleurs. Pour apporter une réponse pertinente à ses clients, la boutique commercialise 2 modèles : N2 Dual et N2 Dual Plus. Les deux modèles proposent à leurs utilisateurs de nouvelles fonctionnalités et atouts par rapport aux imprimantes 3D classiques. Avantage n°1 : la diversité de créations Les imprimantes Raise3D permettent de réaliser des objets et créations de grandes tailles, qui peuvent atteindre 30cm3. Les professionnels qui souhaitent réaliser des créations plus complexes ont la possibilité de concevoir les composants individuellement afin de les assembler à la fin. Avantage n°2 : l’ergonomie Les modèles N2 Dual et N2 Dual Plus disposent d’un écran tactile suffisamment large pour faciliter le paramétrage des objets. Les utilisateurs pourront ainsi piloter facilement leurs créations, sans consulter le mode d’emploi à chaque étape. Avantage n°3 : le paramétrage Les imprimantes Raise3D proposent à leurs utilisateurs diverses fonctionnalités qui leur permettront de paramétrer avec précision leurs créations. Avantage n°4 : la rapidité Sur Raise3D, chaque projet d’impression se déroule en une étape et l’utilisateur peut contrôler la durée de son projet. Il peut apporter des modifications à son projet pendant l’impression selon les résultats attendus. De plus, la technologie Start and Stop lui permettra de mettre en veille son projet à tout moment afin de le reprendre le lendemain. Pour ceux qui souhaitent optimiser la durée d’impression, Makershop recommande le modèle N2 Dual Plus. Avantage n°5 : les couleurs et les matériaux compatibles L’imprimante Raise3D est compatible avec de nombreux filaments, ce qui permet à ses utilisateurs de réaliser des objets multicolores. Ils peuvent utiliser une multitude de filaments PLA, du métal, du nylon, etc. Avantage n°6 : la sécurité de l’utilisateur Avec les modèles N2 Dual et N2 Dual Plus, les utilisateurs peuvent réaliser leurs projets en toute sécurité. Les imprimantes sont fermées tout au long de l’usage et gardent leurs utilisateurs à l’abri des brûlures.

[...]

Les experts du numérique de la start-up FinalCAD ont créé un logiciel qui peut simplifier les activités des professionnels du BTP. Grâce à cette application numérique, les professionnels de la construction peuvent partager leurs observations et éviter les démarches administratives quotidiennes. Le logiciel FinalCAD présente un grand nombre d’avantages. Grâce à celui-ci, le secteur de la construction pourrait être numérisé efficacement et sans difficulté. Le cofondateur de cette start-up, David Vauthrin, avoue que l’application qui a été récemment créée par l’équipe FinalCAD, pourrait faciliter les activités des professionnels du BTP. La start-up a lancé l’application il y a 5 ans et elle continue à gagner en popularité auprès des spécialistes du secteur de la construction. Ce logiciel peut être aussi bien utilisé sur les smartphones que sur les tablettes. Les professionnels ont ainsi la possibilité de suivre facilement l’avancement des travaux sur différents chantiers. Cette application novatrice permet aux personnes travaillant dans la construction de simplifier la communication entre toutes les équipes qui s’occupent d’un chantier et partager toutes leurs observations détaillées en peu de temps. La rédaction des documents, la gestion des réserves et d’autres tâches inhérentes aux projets immobiliers peuvent être réalisées aujourd’hui plus facilement grâce au logiciel FinalCAD. Vous pouvez faire ainsi d’importantes économies de temps, ce qui permet de diriger votre attention vers des activités plus urgentes qui concernent la réalisation de votre projet. Les experts de F49 Promotion peuvent vous accompagner dans votre projet de construction tout en vous donnant des conseils sur mesure et des suggestions personnalisées en fonction de votre plan d’action et de vos besoins. Les projets immobiliers sont désormais plus faciles à réaliser grâce à Visio 3D qui vous permet de configurer jusqu’aux moindres détails la maison de vos rêves.

[...]

Le nombre de commandes en ligne double chaque année dans certains pays et les investisseurs se précipitent sur ces start-up. La livraison à domicile a explosé selon les investisseurs lorsqu’ils parlent de ce marché de la livraison de repas à domicile. Les principales opérations de ces derniers mois confirment cet intérêt grandissant. Delivery Hero est une plateforme crée par l’allemand Rocket Internet qui il a levé en un an et demi plus d’un milliard d’euros d’investissement pour tenter d’écraser ses concurrents. Le britannique Just Eat a aujourd’hui une capitalisation de 3 milliards de livres soit 4,2 milliards d’euros. Elle est plus élevée que lors de son introduction en bourse il y a un an. L’équivalent américain GrubHub coté au New York Stock Exchange pèse, quant à lui, 2,6 milliards de dollars. Même si les investisseurs sont prêts à surpayer certains financement, la réalité n’est pas si éloignée. En effet, Delivery Hero livre 10 millions de repas par mois alors que Just Eat enregistre un chiffre d’affaires de 157 millions de livres pour l’année précédente, un chiffre en hausse par rapport à l’année dernière. Enfin, GrubHub a des revenus nets situés autour de 350 millions de dollars pour cette année. Les restaurateurs se mettent à la livraison Si la livraison de repas à domicile fonctionne c’est que tout le monde mange et dans les grandes villes on a de moins en moins de temps ou l’envie de cuisiner. Le potentiel est encore énorme car le secteur est largement sous-exploité par Internet. Des problématiques différentes apparaissent selon la prise en charge ou non de la livraison par les plateformes. La plupart des acteurs laissent ce travail aux restaurateurs. C’est un marché qui peut être difficile à pénétrer car il faut rechercher des partenaires et des clients mais aussi des livreurs. Alors qu’en France les réticences sont plus fortes qu’au Royaume Uni ou aux Etats-Unis, le secteur est également en plein essor. Le leader Allo Resto a enregistré une croissance supérieure du nombre de commande par rapport à Just Eat au Royaume Uni. De plus en plus de restaurateurs proposent un service de livraison à domicile. En plus d’internet, le portable a aussi un rôle à jouer car il génère 40% des commandes. La concurrence est de plus en plus importante mais elle crédibilise l’activité de livraison de repas à domicile. Vous pouvez passer votre commande directement sur le site internet de Speed-burger.com ou par téléphone si vous souhaitez déguster un burger ou vous faire livrer des tapas. La livraison à domicile est gratuite et la société veille à la qualité de ses produits pour préserver le goût.

[...]

Viadeo connait une forte croissance et ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. La plateforme de mise en relation professionnelle multiplie les nouveaux services et améliore la portée et l’accessibilité de ses solutions à destination des entreprises, des agences et des cabinets de recrutement. Le premier réseau social français étend son activité à la Chine à l’Inde et à l’Amérique du Sud. Tour d’horizon de ce succès avec Olivier Fécherolle, directeur de la communication et des partenariats du numéro 2 mondial des réseaux sociaux professionnels. Olivier Fécherolle : Que faisiez-vous avant d’intégrer Viadeo ? J’ai débuté lors de l’émergence d’internet et j’ai eu la chance de rejoindre l’aventure Keljob.com en 2000. Nous avons réussi à développer le site malgré l’explosion de la bulle. Nous avons fusionné avec des partenaires, puis sommes entrés en Bourse. Une expérience très riche, puisque nous sommes partis d’un PowerPoint, nous avons monté un projet d’entreprise et ensuite le site a été repris par Le Figaro. J’ai quitté Keljob.com un peu après la reprise du service par Le Figaro, pour rejoindre Viadeo il y a 3 ans et demi. Vos premiers pas chez Viadéo ? Chez Viadeo ce n’était pas un PowerPoint, c’était un peu plus construit. C’était une petite entreprise de 25 personnes. A l’époque, les réseaux sociaux suscitaient encore beaucoup de doute et de méfiance, on commençait à peine à voir Facebook, seul MySpace perçait. Tout le monde se demandait ce qu’étaient les réseaux sociaux, quel était le modèle économique, si le concept allait tenir, etc…Aujourd’hui, chez Viadeo nous sommes 260 personnes, les professionnels reconnaissent la valeur du service, cela génère des revenus et c’est en croissance forte. Une croissance que peu de secteurs connaissent. Votre évolution dans la société ? Vos responsabilités et domaines d’intervention, aujourd’hui ? Ca a beaucoup bougé, j’ai fait 5 ou 6 postes en 4 ans. Je me suis un peu occupé de participation, fusion acquisition.Je me suis occupé des partenariats et des abonnements premium. J’ai été DG France. Nous avons ensuite modifié la structure organisationnelle, j’ai alors pris en charge la partie WorldWide. Je m’occupe, aujourd’hui, du développement, de la communication et des partenariats au niveau WorldWide. Mes fonctions ont beaucoup changé ce qui explique que mon propre profil Viadeo n’est pas à jour. Les principales avancées auxquelles vous avez contribué ou que vous avez accompagné ? J’ai beaucoup bougé un peu partout donc j’ai participé à beaucoup de chose, notamment la partie réseau et abonnements prémium, puis la partie facturation/emploi et recherche d’emploi. Plus récemment, j’ai accompagné le développement des partenariats et je me suis occupé du lancement de la plateforme API. 2. Historique de Viadeo Quelle est l’histoire de Viadéo ? Viadeo a été fondé par deux associés Dan Serfati, un HEC, et Thierry Lunati, un centralien. Cela situe la répartition des rôles : l’un en charge de la partie développement, management, commercial et l’autre en charge du  développement produit et de la technique. En fait la société s’est créée au début sur l’idée d’un

[...]

Il n’aura pas fallu plus de 18 mois au site d’emploi et de gestion de réputation professionnelle sur internet pour atteindre les 40 000 CV créés à partir de sa plateforme. Un engouement qui devrait s’accentuer fortement en 2010 avec l’ouverture du service aux Etats-Unis. En quelques mois, Doyoubuzz est devenu l’une des solutions de référence pour qui souhaite optimiser la gestion de sa « e-réputation » et se différencier des autres candidats en étant, ainsi plus facilement « repérable » par les recruteurs. L’outil est en effet idéal pour :– se démarquer et susciter l’intérêt des responsables des RH ou des chefs d’entreprises en créant, en quelques clics, un CV 2.0 (ou « CV riche »), bien loin d’un CV word classique (et statique) grâce auquel il sera possible d’ajouter, au choix : séquences vidéo, diaporamas, mémoires, thèses, recommandations…– gérer au mieux son référencement : DoYouBuzz garantissant à tous ses membres d’apparaître dans les premiers résultats des principaux moteurs de recherche. Ce sont donc aujourd’hui plus de 40 000 CV d’internautes (42% femmes, âge moyen : 30 ans) pour trois typologies d’utilisateurs, représentées à part quasi-égales : salariés (32%), étudiants (31%) et demandeurs d’emploi (26%). Parmi les secteurs les plus représentés, près de la moitié des adhérents au service évoluent dans l’Informatique, dans le Marketing ou la Communication, la Création/Graphisme ou occupent une activité commerciale. Du fait de l’origine nantaise de la société, si plus de 15% des utilisateurs sont (encore) issus des Pays de la Loire, cette prédominance ne cesse de s’estomper, au profit d’autres régions comme l’Ile de France, l’Aquitaine, Paca et Rhône Alpes. Dans le cadre de sa stratégie de développement, la start-up a également décidé de se lancer sur le marché américain avec l’ouverture de bureaux à San Francisco et le lancement de son site en anglais. De cette manière, l’entreprise compte héberger plus de 100 000 profils, France + Etats-Unis, d’ici la fin de l’année. En termes de fréquentation, le site est aujourd’hui visité en moyenne par près de 200 000 internautes chaque mois (soit l’équivalent de 800 000 pages vues).

[...]

Facebook va-t-il trop loin ? Ce réseau social, déjà riche de 24 millions d’utilisateurs suscite des polémiques sur la récolte et la vente d’informations personnelles à des entreprises privées. Décryptage. Un succès spectaculaire Site de réseau social, Facebook (« trombinoscope » en anglais) parie sur l’envie des gens d’échanger et de partager. En s’inscrivant, l’internaute décrit son profil, peut mettre en ligne ses photos, poster des vidéos, écrire des notes, laisser des messages aux amis, retrouver des gens ou encore former des groupes sur des thématiques variées. Ce site, particulièrement ludique et inventif, est un environnement de mise en réseau d’une redoutable efficacité. Facebook est né à Harvard en 2004, puis étendu aux autres universités et lycées. Fin 2005, il rassemblait plus de 17 millions de comptes, essentiellement anglophones. L’histoire a un air de déjà-vu : un étudiant, Mark Zuckerberg, crée un site dans sa chambre d’étudiant. L’invention emballe le réseau, l’étudiant devient dirigeant d’une start-up, à Palo Alto en Californie. Depuis le 24 mai 2007, Facebook, où on ne pouvait entrer que sur invitation, est ouvert à tous. En peu de temps, le site est devenu la sixième plus grosse audience après Google et le premier en partage de photos aux Etats-Unis. Aujourd’hui , l’immense communauté des « facebookers » représente 57 millions de personnes dans le monde. Le plus grand réseau social dans le monde ? C’est ce qu’annonçait l’entrepreneur Paul Allen sur son blog en mai dernier. Car il ne faut pas s’y tromper, derrière l’amitié et les bons sentiments se cache la rentabilité. Pour Allen, ce pourrait «être la meilleure opportunité pour les entrepreneurs du Net des dix dernières années.» Quoi de plus rentable en effet qu’une communauté formée de dizaine de millions de membres, dont la moitié se connecte à Facebook chaque jour ? Sa «viralité» est démoniaque. Il se dit que Facebook a détrôné Myspace, autre site de réseau social. Sur un an, entre mai 2006 et mai 2007, Facebook a connu une augmentation de 89 % de visiteurs uniques, selon Comscore. Des écueils commencent à se faire jour et des juristes d’Internet s’alarment des problèmes de protection de la vie privée. Controverses liées au respect de la vie privée Depuis son existence, Facebook fait l’objet d’une controverse concernant le respect de la vie privée des utilisateurs. Le logiciel utilise en effet les informations personnelles des utilisateurs afin d’introduire des publicités adaptées à leur profil, et vend ces informations à des entreprises privées. Beacon, le dernier logiciel publicitaire de Facebook en date permet à des sites Internet intégrant un script de Facebook d’envoyer des informations sur les actions d’un membre de Facebook sur leur site (un achat, un jeu etc.) aux amis Facebook de ce membre, dans leur « newsfeed », ou de mettre ces informations dans son journal sur sa page personnelle. Cette forme de marketing est très efficace, car elle passe par les réseaux sociaux et non par l’interpellation directe des personnes par la publicité. Fin novembre 2007, un réseau lancé par MoveOn.org fait pression pour défendre la vie privée des utilisateurs

[...]